« Suite à un accident, Joseph, écrivain, se retrouve en fauteuil roulant. Par petite annonce,
il recrute Mila, une jeune femme impertinente, à qui il va confier une mission mystérieuse ».
Le Calicot présente Le Manteau de Janis, une pièce d’Alain Teulié avec Aurélie
Konaté et Philippe Lelièvre, vendredi 22 mars à 20h30, au Palais des Rencontres de Château-Thierry.
« Une petite pépite... pleine de délicatesse, de bons mots, de rebondissements et de rires » Télématin- France2
Billetterie :
Encore disponible :
Renseignements au 03 23 69 43 00 ou calicot2@wanadoo.fr
PB
02 mars 2024
Auteure de romans de fiction fantastique, la Sud-Axonaise Caroline Kahel sort le 2 avril prochain son nouveau roman : Le Brouillard Assassin. Un nouveau roman édité pour
la première fois par une maison d’édition également du département de l’Aisne,
les Éditions Lansdalls à Vic-sur-Aisne au Nord-Ouest de Soissons.
Vous avez tremblé avec l’Éventreur ? Êtes-vous prêts à faire face à ce qui terrorise à nouveau Londres ?
Être actrice dans un quartier pauvre de Londres n'a rien de simple pour Charlotte Jenkins qui a tout sacrifié afin de permettre à son jeune frère de devenir inspecteur de police. Pourtant elle rêve encore et en grand. Elle jouera dans les plus grands théâtres du monde, elle s'en est fait
la promesse !
Pour sortir du cloaque de Whitechapel, une seule solution : trouver un riche mécène. Alors quand ce dernier espoir se fait sauvagement assassiner en pleine représentation, c'est son frère qui va mener l'enquête. Mais comment interpréter les témoignages de tous les spectateurs présents ? « C'était un étrange brouillard assassin, monsieur l'Inspecteur ! »
Whitechapel est un repaire de truands notoires, et si le Mal prenait, pour une fois, un autre visage ?
Caroline Kahel fréquente régulièrement salons et fêtes du livre. Vous pourrez la rencontrer :
Le Brouillard Assassin de Caroline Kahel. Éditions Lansdalls. 570 pages. Date de parution le 2 avril 2024.
DB
Crédit photo : Axomois Production
Autrice et conteuse depuis 2012, Kristel Le Chantoux vient de publier en auto-édition
Les potins du village ou Les ombres interdites.
« J’habite dans le Sud de l'Aisne depuis presque dix ans, maintenant, confie Kristel. J'ai écrit jusqu'ici de petits albums pour la jeunesse et un livre de contes et légendes sur le Morbihan. Mon premier thriller, Les ombres interdites, fait partie de la série Les potins du village.
C’est un thriller psychologique sur le thème principal du titre de la série, mais aussi sur le harcèlement et leurs conséquences. J'ai souhaité écrire sur le sujet, car il est très présent dans l'actualité que ce soit dans les écoles ou encore via internet avec les blogueurs et youtubeurs.
Il m'a fait me poser beaucoup d'interrogations. Tout d'abord par rapport au ressenti de la personne qui vit cette humiliation, puis comment elle pourrait se venger, en appliquant l'effet papillon. »
Cette année-là, Annie, 9 ans, pensait passer de formidables fins de grandes vacances chez
un couple d'amis à ses parents. Elle, qui ne connaissait que la ville, était heureuse de découvrir les habitudes de vie des habitants d'un petit village au fin fond de la France profonde ainsi que la campagne environnante.
Malheureusement pour elle, le sort en a décidé autrement. Dans un suspens insoutenable, Annie et ses proches pourront-ils oublier l'inconcevable ?
Les potins du village ou Les ombres interdites est disponible sur :
Et également dans les librairies indépendantes françaises et sur chapitre.com
DB
Expo peinture du 24 février au 27 avril 2024 à la Maison de l’Amitié France Amérique.
Pour cette nouvelle exposition, la Ville de Château-Thierry invite le peintre Bruno Lebon. Originaire de Poitiers, il vit et travaille aujourd’hui à Reims. L’artiste a sélectionné pour
la Maison de l’Amitié France Amérique une douzaine de peintures grands formats.
Bruno Lebon éprouve un grand intérêt pour les techniques picturales anciennes. Il peint à la tempera grasse : un mélange d'huile,
d'œuf et de pigments qu'il fabrique lui-même. Elle lui impose une lenteur dans la réalisation, une exigence à contre-courant de
nos rythmes de vie. L'atelier joue d'ailleurs un rôle primordial dans sa démarche : lieu de réflexion, de concentration où
les tableaux s'élaborent dans la durée. Son travail de couleur vise une recherche d'harmonie : Les tons francs côtoient les teintes les plus subtiles patiemment choisies, accordées.
Pourtant, l'artiste vit en ce début de XXIème siècle, dans son temps. À l'aise avec les images numériques, il connait bien les logiciels
de création et leur pouvoir de fascination. Bruno Lebon a conscience d'évoluer dans une société saturée d'images et d'informations.
Sa peinture est une métaphore de ce monde un peu fou dont il cherche à rendre compte. Elle donne à voir des compositions
complexes où des motifs inattendus y figurent sans véritable hiérarchie. Pour ce faire, il peint essentiellement de mémoire, des figures, fragments d'objets surgissant de manière spontanée sans
apparente logique au gré des séances de travail. Selon l'artiste, le tableau doit nous forcer à la réflexion, la contemplation, à quitter la lecture superficielle des images. Son univers regorge
de motifs tirés de la bande dessinée, des cartoons, de figures triviales et d'une certaine culture populaire "vintage" un brin surannée : on y trouve entre autres choses, chaussettes, écouteurs,
personnages et autres têtes… des bribes d'histoires apparaissent et le regardeur est mis à rude épreuve, sommé de s'investir dans cette confrontation !
Les références de l'artiste proviennent de la figuration libre, de la peinture française du siècle dernier et enfin d'une influence américaine. On peut citer entre autres Georges Braque, Giorgio de Chirico, des peintres comme Robert Combas, les américains
Peter Saul, et surtout Philip Guston, la référence selon lui. Une citation de celui-ci vient éclairer ce qui est cœur de la démarche
de Bruno Lebon : " Souvent, au moment où l’on est prêt à abandonner, on joue ses dernières cartes. On rajoute quelques touches,
on accède à un nouveau type de conscience et on travaille à partir de ce déclic ".
Maison de l’Amitié France Amérique. Place des États-Unis. 02 400 Château-Thierry. Entrée libre les lundis 13h30 - 17h00.
Du mardi au samedi 09h30 - 12h30 / 13h30 - 17h00.
Ville de Château-Thierry
"Il n’est pas d’œuvre, quelle qu’en soit la nature, qui ne parle au delà de sa prime expression.
Venue tardivement à l’art pictural, l’odonienne Yannick Méresse-Cernet n’échappe pas à ce postulat. Riche d’une vie professionnelle ouverte sur le monde, ce peintre a pour source d’inspiration l’univers agreste.
Sa technique : l’huile et l’acrylique, soutiennent sa muse ; plantes, animaux, paysages ou simples objets du quotidien bénéficient d’une palette essentiellement marquée par les couleurs chaudes. La touche est soutenue et précise mais donne au spectateur la vibration de l’inachevé. Cette vigueur incertaine révèle là, toute la sensibilité de l’auteur qui, sur chacune de ses toiles, refonde l’authentique.
Yannick Méresse-Cernet, nous entraîne avec sincérité sur les chemins du vrai."
Bernard Boller
Suivez le guide ! http://ymeresse.e-monsite.com
L'odonien Jacques Cernet a commencé à dessiner vers l’âge de 10 ans. Ce septuagénaire a toujours été fasciné par le matériel
des professionnels de peinture. Un jour, passant à Château-Thierry, il franchit le pas. Cela fait plus de 35 ans qu’il œuvre. Découvrez ces toiles ici.
Robert Doisneau lui a dit un jour : « Jean-Francis, tu as de l’or dans les mains ». Jean-Francis Fernandès vit à Paris où il est né en 1952. Dès l’âge de 14 ans, il se passionne pour le cinéma et la photographie puis fréquente l’Ecole Louis Lumière et l’Académie Charpentier. En 1969, il réalise en 16 mm Et Après, présenté en 1978 au Centre Pompidou aux journées de cinéma « La Ville et l’Enfant ». Suivront Monologue de Sourds, Un Français parle aux Français et Enquête Sociale qui sera présenté, en 1980, au Festival International Cinéma du Réel, au Centre Pompidou. Parallèlement, il est le photographe de la Mission Interministérielle de l’Aménagement de la Côte Aquitaine (1972-73), de l’un des services du Muséum National d’Histoire Naturelle (1976-77)...
Il effectue, en 1979, un reportage photographique sur les cinémas de la Capitale, commandé par Paris Audiovisuel pour la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris. A partir de 1980, il se consacre exclusivement à la photographie et travaille pour l’Agence Groupe 7. Se succéderont des commandes pour de grands groupes industriels et des organismes institutionnels tels que l’Etablissement Public du Grand Louvre (1984-1993). Prix Air France - Ville de Paris en 1984, il réalise un reportage aux Philippines dont les images seront exposées en 1985 au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Parmi ses séries photographiques, on compte : les Enfants Exceptionnels, les Ombres de la Ville Lumière, la Pauvreté ordinaire en France... Il est représenté dans les collections du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, de la Maison Européenne de la Photographie, du Festival de l’Image du Mans, de la BDIC - Musée d’Histoire Contemporaine et de la Maison de la Photographie Robert Doisneau. Il réalise lui-même ses tirages d’expositions et de collections.
Jean-Francis Fernandès photographie la solitude. Celle des gens et celle des lieux. Suivez-le sur : www.tk-21.com/Et-apres