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L' actualité du quotidien

Les enfants de Château-Thierry réconfortent leurs camarades ukrainiens

21 janvier 2025

©Photos/Ville de Château-Thierry

 

 

 

 

À la suite de la visite de Mme Galyna Minayeva, maire de Chuhuiv, à Château-Thierry, le 18 novembre 2024, un geste de solidarité a été mis en place en faveur des enfants de Chuhuiv. Lors de cette rencontre, marquant le lancement du partenariat entre nos deux villes, il avait été décidé que les enfants de Château-Thierry enverraient des messages de soutien à leurs camarades ukrainiens, gravement affectés par le conflit.

 

Ainsi, avant Noël, un colis comprenant des dessins et des messages de paix réalisés par les enfants

de Château-Thierry a été expédié à Chuhuiv. Cette initiative, rendue possible grâce aux animateurs

du périscolaire, témoigne de l’implication de nos enfants envers leurs camarades ukrainiens.

 

 

 

 

 

 

Félix Bokassia, conseiller municipal en charge du jumelage et de la solidarité internationale, précise : « Ce geste solidaire est une première étape du soutien de notre ville à Chuhuiv dans sa reconstruction. Une fois la paix rétablie, nous espérons pouvoir organiser des échanges culturels, techniques et dans le domaine viticole. »

 

Sébastien Eugène, maire de Château-Thierry et conseiller départemental, ajoute : « Alors que l’investiture du nouveau président américain suscite des incertitudes sur l’avenir du conflit, la Ville de Château-Thierry réaffirme son soutien inébranlable à l’Ukraine et à ses habitants, notamment aux habitants et enfants de Chuhuiv. »

Ville de Château-Thierry


[Concert apéro] Montmirail. Étienne Fletcher en première tournée européenne

21 janvier 2025


Fier représentant de la scène musicale franco-canadienne, Étienne Fletcher effectue sa première tournée européenne. L'artiste sera

en concert apéro, dimanche 26 janvier à 19 heures, Salle Barbara à Montmirail, dans le cadre de la nouvelle programmation Chant'Morin.

 

Toutes les infos pratiques sont sur les affiches !

DB

 


Château-Thierry. Lancement de la troisième phase de gestion végétale au château médiéval

20 janvier 2025

©Photos/Ville de Château-Thierry

Les travaux de gestion végétale ont débuté le lundi 13 janvier sur le glacis nord du château médiéval. Ces interventions précèdent

une nouvelle phase de plantation de haies le long du chemin reliant le cours Renan au parking Jean Macé.

 

L’objectif de ces travaux est de rétablir l’équilibre entre trois niveaux de végétation :

  • La strate herbacée (plantes basses et herbes),
  • La strate arborescente (arbustes et buissons),
  • La strate arborée (arbres).

Initié en 2023, ce programme réalisé en 3 tranches (en 2023, 2024 et 2025) vise à répondre à trois priorités : restaurer un équilibre écologique durable entre ces différentes couches végétales, renforcer la sécurité des abords du site, et améliorer la visibilité du château médiéval.

 

Outre ses effets positifs sur l’écosystème local, cette démarche favorise le retour de certaines espèces d’oiseaux et d’insectes, auparavant absentes de cet environnement.

 

Ces actions permettent également de dégager une vue plus claire sur le château médiéval, notamment depuis les remparts nord. Inscrite

dans une stratégie globale de valorisation patrimoniale et de sécurisation des espaces environnants, cette initiative s’appuie sur des principes de gestion durable.

 

Jérôme Haquet, adjoint au maire délégué à la Transversalité Écologique, précise : « La gestion végétale au niveau du glacis nord permet à la fois de sécuriser les lieux, de mieux valoriser notre château médiéval, tout en s’ancrant dans une gestion responsable d’un point de vue écologique. »

 

Sébastien Eugène, maire de Château-Thierry et conseiller départemental, ajoute : « La municipalité multiplie les initiatives pour mieux mettre

en valeur notre château médiéval, l’un des éléments clés de notre patrimoine. En plus de la gestion végétale, la déconstruction de l’ancien café

des Chesneaux au cours de l’année 2025 permettra de faire découvrir la richesse patrimoniale et naturelle de la partie nord du château. »

Ville de Château-Thierry


Jaulgonne. Cérémonie des vœux : L’Agglo, le Département et l’État ont capté l’attention du public

20 janvier 2025

Sébastien Eugène, président de l’Agglo de Château-Thierry, Dominique Duclos, conseiller départemental et binôme de Anne Maricot ,

et Stéphane Paccard, sous-préfet de l’arrondissement de Château-Thierry, étaient présents vendredi soir 17 janvier lors de la cérémonie

des vœux de la maire de Jaulgonne. Ils ont capté l’attention du public lors de discours clairs et concis.

 

Ils ont dit !

 

De bonnes nouvelles annoncées par Sébastien Eugène : Le budget des vœux de l'Agglo dont la cérémonie se déroulera lundi 27 janvier

à Brasles sera divisé par 4 par rapport aux vœux 2024. Du champomy à la place du champagne et des joyeusetés tartinées par les élus communautaires ? Allez savoir ! L'Agglo de Château-Thierry n'est pas trop endettée. Du coup, elle va investir massivement en matière

de développement économique. Elle va favoriser la petite enfance avec la construction d'une vraie crèche. L'Agglo maintiendra son soutien

aux communes en matière d'investissement.

 

Le président de l’Agglo a quelque peu baissé la température de la Salle culturelle Daniel Berger : Équilibrage du budget 2025 oblige, des factures vont augmenter comme notamment l’assainissement (facture d'eau), le portage des repas à domicile et les Services À Domicile. Il faut s’attendre à une hausse de la fiscalité, mais pas de 4,5 points comme cela aurait dû être le cas. Le montant devrait être divisé par 3 et précisé début février.

 

Une cérémonie consacrée aussi aux vœux des conseillers départementaux du canton d'Essômes-sur-Marne. Dominique Duclos souligne :

« Le Conseil départemental, malgré des difficultés financières, joue un rôle essentiel en tant que partenaire des communes et des collectivités territoriales, notamment les intercommunalités, soutenant les projets et offrant les ressources nécessaires pour améliorer notre quotidien.

Notre priorité sera de continuer à renforcer la solidarité et le développement social de notre territoire tout en préservant notre patrimoine et notre qualité de vie.

Grâce à notre engagement commun, nous parviendrons à bâtir un avenir prospère pour nos concitoyens. Je tiens également à souligner l’importance de la concertation et du dialogue entre les élus et les habitants. Ces échanges sont essentiels pour mieux comprendre les besoins et les attentes

de chacun. Et pour élaborer des solutions adaptées et efficaces pour toutes et tous. »

 

Le conseiller départemental, maire de la commune de Nogent-l'Artaud, a tenu à adresser un remerciement particulier au Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) pour son dévouement et son courage sans faille et constant : « Les sapeurs-pompiers, ces héros silencieux,

prêts à risquer leur vie pour protéger la nôtre. Leur engagement inébranlable et leur bravoure méritent toute notre reconnaissance et notre admiration.  Je remercie les services de la Gendarmerie Nationale, des partenaires privilégiés dans nos actions de tous les jours, ainsi que les élus et les parte-naires pour leur travail et leur collaboration tout au long de l’année. Votre travail et votre investissement sont indispensables à la réussite de nos projets et à la qualité des services offerts à nos concitoyens. »

 

Comme le veut le protocole, Stéphane Paccard, le représentant de l’État sur le territoire, a clos la série de discours : « Les temps peuvent être durs pour beaucoup de collectivités publiques y compris pour l'État. Ce n'est pas un mystère. Ce qui nous oblige collectivement à repenser

les modalités de l'action publique et à faire preuve d'innovation et à toujours mieux travailler ensemble. Dans la coopération resserrée, on arrive aussi

à trouver des solutions pour être toujours plus efficace.

En 2025, l'État continuera à jouer pleinement son rôle pour accompagner les communes et les territoires. »

DB

Crédit photos : Axomois Production


Dormans. Association de pêche La Vandoise : assemblée générale ordinaire et extraordinaire le 15 février

20 janvier 2024

Le Bureau de La Vandoise. De gauche à droite : Amaury Guy (secrétaire), Pierre Laurier (président), Nicolas Laurier (trésorier) et Donovan Montcuit (vice-président).
Le Bureau de La Vandoise. De gauche à droite : Amaury Guy (secrétaire), Pierre Laurier (président), Nicolas Laurier (trésorier) et Donovan Montcuit (vice-président).

 

 

 

L’association de pêche La Vandoise invite à son assemblée générale ordinaire ainsi qu’à son assemblée générale extraordinaire, samedi 15 février à 09h30, dans la Salle de garde du Château de Dormans.

 

Retrouvez ci-contre, l’ordre du jour de ce moment spécifique de la vie de cette association de pêcheurs.

DB

Crédit photo : Axomois Production

 


[Vœux] Jaulgonne. Un lotissement « qui fait peur et fait tant parler »,        la création d’une agence postale et la reprise de la Maison de Santé      par la commune

19 janvier 2025

La cérémonie des vœux à la population de la maire et conseillère départementale Anne Maricot s’est déroulée vendredi soir 17 janvier dans une salle culturelle Daniel Berger copieusement garnie.

 

En préambule, Anne Maricot a retracé l’épisode des cumuls de pluie importants entrainant les inondations survenues dans la nuit du 9 au 10 octobre 2024. « Un travail mené avec la Maison de champagne Moët et Chandon devrait permettre de sécuriser le quartier de la ravine Barisis. » La maire a salué la présence des riverains touchés par les inondations et qui ne peuvent pas réintégrer leur maison : « Nous ne les oublions pas. Ils sont toujours Jaulgonnais. »

 

Dans le rétro

 

Anne Maricot a fait un point sur les réalisations 2024. Sur la base de loisirs : installation d’une pergola bioclimatique « pour le plus grand bonheur des consommateurs », installation d’une base « unique en Hauts-de-France » de kayak et de paddle entièrement autonome, installation de la vidéoprotection, élargissement de la rue au-dessus de Raganne. La maire a évoqué les déboires avec VNF (Voies Navigables de France) concernant le projet de bateaux hôtels qui devait voir le jour dans le cadre des JOParis 2024. Une commission doit se réunir le 23 janvier

pour examiner le nouveau dossier.

 

L’année 2024 a également vu le lancement des travaux dans une maison située au 9 Rue du Chatelet. Une propriété donnée à la commune

au cours du 19e siècle par Madame Nicaise, épouse et mère de soldats Napoléoniens dont le monument est situé au cimetière communal

de Jaulgonne. La bâtisse abritant la salle associative dite « des chasseurs » doit être entièrement réhabilitée. Travaux, maître d’œuvre, contrôleur sécurité, contrôleur technique, annonces légales pour le lancement du marché public et tout le toutim : Le montant de la facture

de la réhabilitation atteint 280 000 euros HT, « heureusement subventionnée à près de 80%, mais quand même, un jour, il faudra être facilitateur et comprendre que les petites communes ne peuvent pas répondre aux marchés publics. »

 

Quid des projets 2025 ?

 

Anne Maricot a présenté le lotissement qui devrait permettre l’installation de seize familles cet été. « Un lotissement qui fait peur, qui fait tant parler, et qui a pourtant été conçu pour répondre aux besoins des Sud Axonais. »

 

Dix T3 et six T4 avec un petit jardin et un loyer allant de 400 à 550 euros sortent de terre. Le bâtiment réservé aux personnes âgées de plus

de 60 ans ou en situation de handicap sera livré début 2026. Au rez-de-chaussée du dit bâtiment, une extension du Pôle Santé accueillera

« nos super orthophonistes » et un kiné à la fin de l’année 2025.

 

Comment éviter la fermeture des services ? La création de l’agence postale en mairie est dans les cartons. Le Conseil municipal a délibéré

en faveur du déplacement des services de La Poste à la mairie afin de garder ces mêmes services. Après les travaux, l’agence devrait ouvrir

en septembre, « douze heures par semaine ».

 

Un accord, validé par le Conseil communautaire de la CARCT, a été trouvé entre le nouveau gouvernement de l’Agglo de Château-Thierry

et la mairie afin que la gestion du Pôle Santé soit désormais du ressort de la commune.

 

Et Bim !

 

Les oreilles d’un utilisateur du réseau social Facebook ont dû siffler ce vendredi soir, aux alentours de 19h10. Anne Maricot lance : « Cracher

son venin est trop facile quand on ne participe pas à la vie locale. » Une critique sur l'idée du Conseil municipal de Jaulgonne de donner la parole aux administrés afin qu'ils nomment les rues du lotissement qui sort de terre a été postée sur Facebook : « L'obsession de la maire est de faire table rase du passé qu'elle ignore et méprise. Plutôt que rue, je préfèrerais allée. »

 

Remontée comme un coucou, Anne Maricot précise à l'assemblée abasourdie : « J’habite la même maison depuis 1983 ! Je viens à Jaulgonne depuis 1966 ! Je suis mariée à un Jaulgonnais de naissance appartenant à une des plus anciennes familles de la commune !  Plus de 4 millions d’euros d’investissement : En 10 ans, Jaulgonne a vu ses commerces renaître, la création de l’école, de la salle des associations, du centre de loisirs,

de la micro-crèche, du city stade, de l’espace de loisirs en bords de Marne, de l’aire de camping-car, de l’enfouissement des réseaux et du pluvial,

de la réfection de la Route de Launay, et de la Rue du Port, des aménagements de la Rue du Plessier. Tous ces investissements sans augmentation d’impôts depuis 2007 ! »

 

Syndicat scolaire de la Vallée de la Marne

 

La présidente Anne Maricot a indiqué que les finances commencent à se rétablir. « Un espoir de retour financier à la situation de 2020 est envisagé en 2026 seulement. »

 

Des doubles vœux

 

Vice-présidente en charge de l’Autonomie, du Grand âge et du Handicape au sein du Conseil départemental de l’Aisne, Anne Maricot a souligné que la délégation est très lourde vu le nombre important de projets engagés par des mesures nécessaires face aux difficultés actuelles.

Élue en binôme avec Dominique Duclos, le maire de Nogent-l’Artaud, Anne Maricot dit travailler « avec une équipe extraordinaire qui fait face

et qui anticipe sur l’avenir. »

 

Sur le canton

 

La conseillère départementale a évoqué une note positive avec les ouvertures de la caserne des sapeurs-pompiers de Saint-Eugène en juillet dernier et du collège de la Faye de Condé-en-Brie le 24 février prochain.

 

Commerçants, associations, employés communaux… : Anne Maricot a ensuite mis fin à son discours en remerciant l’ensemble des acteurs

de la commune.

 

Présents lors de la cérémonie, le conseiller départemental Dominique Duclos, le président de l'Agglo de Château-Thierry Sébastien Eugène

et le sous-préfet de l'arrondissement de Château-Thierry Stéphane Paccard ont ensuite capté l'attention des participants lors de discours brefs, précis, allant droit au but, avant que ces derniers ne se dirigent vers l'incontournable buffet. Ces interventions feront l'objet d'une pastille.

DB

Crédit photos : Axomois Production

 


Crézancy. Les élèves de 1re STAV et de Terminale PRO du Lycée Agro-Viticole découvrent le Panthéon et le Sénat

18 janvier 2025

Le Panthéon à Paris.
Le Panthéon à Paris.
L'escalier d'honneur du Sénat à Paris.
L'escalier d'honneur du Sénat à Paris.

Dans le cadre du projet pédagogique portant sur "Les Hauts lieux de la République", les apprenants des classes de 1re STAV (Sciences et Technologies de l'Agronomie et du Vivant) et de Terminale Bac PRO du Lycée Agro-Viticole de Crézancy se sont rendus le 16 janvier à Paris.

 

Ils ont ainsi pu découvrir le Panthéon : Architecture, symbolisme et les Hommes illustres n'ont plus de secrets pour eux.

 

La sortie s'est poursuivie par la visite du Sénat grâce au parrainage du sénateur de l’Aisne, Antoine Lefèvre. Ils ont assisté à une séance au sein de l'hémicycle, puis déambulé dans les couloirs de Palais du Luxembourg.

 

Toute cette visite sera retravaillée sous la forme d'une capsule-vidéo dans le cadre de la Journée Portes Ouvertes du lycée qui se déroulera

le samedi 22 mars.

MLP

 


Courboin. On va taper le carton dimanche 16 février

18 janvier 2025

Le Comité des fêtes de Courboin organise son premier concours de belote de l’année, dimanche 16 février, dans la salle des fêtes.

 

Inscription : 8 euros par personne. Ouverture des portes à 13 heures et début des jeux à 14 heures.

 

Comme d’habitude, une petite restauration sera à disposition pour le confort des joueurs. Sans oublier, le lot de participation remis à chaque beloteur à l'issue du concours.

DB

Crédit photo : Axomois Production


L’ancien député Jacques Krabal demande à la Chambre régionale        des comptes de contrôler l’hôpital de Soissons, la mairie et l’Agglo         de Château-Thierry !

17 janvier 2025

Jacques Krabal, l’ancien député de la 3e circonscription de l’Aisne, Villers-Cotterêts/Château-Thierry, démarre, lui, l’année 2025 sur les chapeaux de roues !

 

Il vient d’adresser un courrier au président de la Chambre régionale des comptes des Hauts-de-France, enjoignant ce dernier à lancer des contrôles sur le Centre hospitalier de Soissons, la mairie de Château-Thierry et la Communauté d’agglomération de la région de Château-Thierry. La totale !

 

Retrouvez ci-dessous le contenu du courrier.

DB

Crédit photo : Axomois Production

 

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Centre hospitalier Jeanne de Navarre. Service Ophtalmologie injoignable : Il y a toujours une raison !

17 janvier 2024

Une Sud Axonaise souhaitant démarrer la nouvelle année non pas sur les chapeaux de roues, car à 97 ans il ne faut tout de même pas jouer

les casse cou, mais simplement bon pied et surtout bon œil, a essayé de joindre le Service Ophtalmologie du Centre Hospitalier Jeanne de Navarre de Château-Thierry, pendant plus d'une semaine , dans le but d'obtenir un rendez-vous.

 

Elle était à près de trente appels sans succès le vendredi 10 janvier. Le standard de l'hôpital l'invitait même à se déplacer pour caler

ce fameux rendez-vous.

 

Interpellé par la rédaction lors de la cérémonie des vœux du maire de Château-Thierry, le directeur délégué du Centre hospitalier de Château-Thierry, Cyril Marais, a mené son enquête sur ce qui pouvait sembler être un dysfonctionnement téléphonique : « Après analyse, il n'y a pas eu

de défaillance technique. Il s'agit de deux facteurs combinés, entre d'un côté une secrétaire en congés et d'un autre coté un afflux d'appels toute

la semaine au secrétariat d'ophtalmologie. Les secrétaires présentes ont passé la semaine au téléphone à répondre aux appels mais beaucoup d'appels n'ont pas pu aboutir du fait de cet afflux. »

 

Le secrétariat du Service Ophtalmologie répond désormais plus vite que son ombre.

DB

Crédit photo : Axomois Production


Château-Thierry. Chemin du Progrès : des aménagements pour une gestion optimisée des eaux pluviales

16 janvier 2025

©Photos/Ville de Châtau-Thierry

 

 

La Ville a accompagné, avec les viticulteurs, des travaux sur le Chemin du Progrès pour renforcer la lutte contre les inondations. Ces travaux ont pour objectif de réduire les problèmes de ruissellement observés lors de fortes pluies, principalement dus aux écoulements des fonds supérieurs. Ces eaux ont inondé fréquemment les rues adjacentes, comme l’avenue de Champagne, la rue du Buisson et la rue de Paradis.

 

 

 

 

Pour remédier à cette situation, le profil du chemin a été modifié afin de mieux canaliser les eaux pluviales vers le bassin de rétention sous

le bois Blanchard. Ce bassin a été réhabilité, avec un nettoyage et un dragage de son fond pour améliorer sa capacité de rétention. Les pierres tombées dans le bassin ont été relevées, et les travaux d’aménagement des entrées du bassin sont en phase de finalisation. Le chemin est désormais entièrement accessible aux usagers.

 

Ces aménagements visent à réduire les nuisances pour les riverains, en réponse aux défis climatiques actuels. Par ailleurs, des solutions durables, comme l’infiltration des eaux pluviales directement sur les parcelles, ont été mises en place. Ce principe est déjà appliqué dans plusieurs secteurs, tels que les nouveaux aménagements des espaces publics aux Vaucrises et aux abords du Palais des Rencontres,

où les aménagements permettent une absorption directe des eaux sur place.

 

Mohamed Rezzouki, adjoint au maire délégué à l’urbanisme et aux travaux, précise : « Ces travaux visent à protéger les riverains contre les risques d’inondation, qui se manifestent de plus en plus fréquemment. En améliorant notre infrastructure de gestion des eaux pluviales, nous répondons aux enjeux environnementaux tout en préservant l’intégrité des biens et des personnes. »

Ville de Château-Thierry


Château-Thierry. 5e édition du budget participatif: les votes sont ouverts !

16 janvier 2025

©Photos/Ville de Château-Thierry
©Photos/Ville de Château-Thierry

 

 

La municipalité de Château-Thierry a officiellement lancé, ce lundi 13 janvier, la phase de vote pour

la 5e édition de son budget participatif. Une enveloppe de 40 000 € est une nouvelle fois dédiée

à la réalisation de projets citoyens innovants et durables.

 

Cette année, 13 projets, proposés par les habitants et répondant aux critères du règlement, sont en lice. Dès 14 ans, les Castels sont invités à voter pour ceux qu’ils souhaitent voir se concrétiser dans leur ville.

 

Les votes se dérouleront du 13 janvier au 15 février 2025. Chaque Castel est invité à se rendre dans

les différents points de vote pour exprimer ses préférences. Les projets peuvent être consultés sur place, ou en ligne sur www.chateau-thierry.fr/budget-participatif

 

Le vote se fait exclusivement sur papier, avec des urnes et des bulletins disponibles à l’accueil de l’Hôtel de Ville, à la médiathèque Jean Macé, au CCAS, dans les centres sociaux (Blanchard, Vaucrises, Filoirs/Vignotte) et au pôle Jean-Pierre Lebègue. Chaque citoyen peut voter pour ses trois projets favoris.

 

 

 

 

À l’issue de la période de vote, les projets ayant recueilli le plus grand nombre de voix seront réalisés, dans la limite du budget de 40 000 € alloué. Les initiatives plébiscitées par la population contribueront activement à améliorer le quotidien dans la Cité poétique.

 

Francis Rimlinger, conseiller municipal délégué à la participation citoyenne, indique : « La municipalité renforce les outils de participation citoyenne, tels que le budget participatif, qui transforme les besoins identifiés par les Castels dans leur quotidien en projets concrets et réalisables. »

 

Sébastien Eugène, maire de Château-Thierry et conseiller départemental, ajoute : « Depuis cinq ans, cette initiative est l’une des incarnations

de notre volonté de donner aux Castels un rôle actif dans le développement de leur ville. Nous saluons l’imagination et l’implication des participants, qui enrichissent chaque année cette initiative. »

Ville de Château-Thierry


[Insolite] Jaulgonne accueille le 2e Grand Prix de Billes dimanche 2 février

15 janvier 2025

Après Condé-en-Brie en 2024 et avant Mézy-Moulins en 2026 (c’est un souhait), la commune Sud Axonaise de Jaulgonne accueille

la deuxième édition du Grand Prix de Billes « Billes en Fête », dimanche 2 février 2025, Salle culturelle Daniel Berger, de 10h00 à 18h00.

 

Cet événement ludique et intergénérationnel porté par l’association Axomois Production est ouvert au public âgé de 6 ans à 106 ans essentiellement et tous les âges entre les deux.

 

Deux circuits de billes géants parsemés d’obstacles comme notamment les whoops, la mangrove, le tunnel, ou encore le balancier de Newton, solliciteront la concentration, la réflexion et l’adresse des concurrents sous le regard impitoyable du chronomètre.

 

Participation : 5 euros par personne. Inscriptions au 06 07 15 62 57. Buvette et restauration (plateau repas sur réservation) seront à dispo-sition pour le confort des participants et du public.

 

Rien ne serait possible sans eux ! Merci aux partenaires : Commune de Jaulgonne, Conseil départemental de l’Aisne, Agglo de Château-Thierry, Crédit Agricole Nord-Est, Dom Couverture, Ru du Rosset, Terrassement Rénald Labbée, Optique Dormans/La Lunetterie, Champagne Jean-Yves Roulot, La Chocolaterie Chloé, Association des parents d’élèves L’Arc en Ciel.

DB

Crédit photo : Axomois Production


Château-Thierry. Des bourses de 1000 euros et des médailles de la Ville aux vœux du maire

14 janvier 2025

La municipalité de Château-Thierry et les médaillés de la Ville 2025.
La municipalité de Château-Thierry et les médaillés de la Ville 2025.

Des bourses de 1000 euros et des médailles de la Ville : mérite et engagement ont été mis en lumière, jeudi 9 janvier, lors de la cérémonie des vœux du maire de Château-Thierry.

 

Après une présentation de Nathalie Redouté, adjointe au maire, déléguée à la vie associative, aux ressources humaines et à la communication, une bourse associative 2025 d’un montant de 1000 euros a été remise aux associations Castelles suivantes :

  • Les Amis des Temples de Château-Thierry et Monneaux,
  • Café Associatif et Culturel,
  • Les Amis de la Marche,
  • Le Guet Apens,
  • Association Saint-Crépin.  

Une promotion 2025 composée de 4 hommes et 4 femmes

 

Une fois leur bio dressée par le maire Sébastien Eugène, la médaille de la Ville de Château-Thierry a été décernée à :

 

. Stéphane Amélineau pour son travail exemplaire et sa contribution inestimable à la préservation de notre mémoire collective.

Pour Stéphane Amélineau, transmettre le savoir et préserver la mémoire est bien plus qu’un métier : c’est une véritable vocation. Professeur documentaliste au collège et lycée Saint-Joseph de Château-Thierry, son engagement dépasse largement le cadre de l’enseignement.

Auteur du livre « Journal de bord d’un itinéraire de Mémoire », consacré à la Shoah dans le Soissonnais, il travaille en étroite collaboration

avec la Fondation pour la Mémoire de la Shoah à Paris.

Dans ce cadre, Stéphane Amélineau accompagne les familles de victimes dans leurs recherches en archives, les aidant à décrypter et

à contextualiser les documents, et permettant ainsi de renouer avec leur histoire. Fidèle au devoir de mémoire, il intervient également en tant que conférencier auprès des établissements scolaires, des associations et des institutions, partageant inlassablement son savoir et

son engagement. 

 

. Manu De Faria pour toutes ses années de service empreintes de simplicité et de dévouement, et en reconnaissance de son engagement exemplaire au service de la mémoire.

Ancien membre actif de la Coop et ancien président de cette association, Manu De Faria est un homme dont la discrétion est aussi remar-quable que son engagement.

Ancien combattant, il a naturellement choisi de participer activement au devoir de la mémoire. Fidèle à ses valeurs, Manu De Faria est présent

à chaque commémoration en tant que porte-drapeau.

 

. Christian Gaudet pour son engagement.

Christian Gaudet, président du Castel Automobile Club depuis 7 ans est un passionné de patrimoine automobile. Il participe régulièrement

à des événements prestigieux tels que le Rallye de Monte-Carlo Historique ou le Mans Classic, où il fait rayonner son amour pour les voitures anciennes.

À Château-Thierry, il est l’instigateur, avec les membres de l’association, de nombreuses manifestations, dont le rallye « Fables et Champagne »

et l’exposition annuelle au Palais des Sports. Ainsi que lors d’évènements en partenariat avec la Ville et d’autres associations, à l’instar

des Journées Européennes du Patrimoine, qui sont autant de moments pour partager sa passion.

 

. Jérémy Cys pour son dévouement exemplaire et sa contribution au rayonnement sportif de la Ville.

Depuis sa tendre jeunesse, Jérémy Cys arpente les chemins avec détermination grâce à sa passion pour la marche athlétique. Athlète

aguerri, il a donné un premier aperçu de ses capacités en 2006, en terminant 14e au classement général et 3e dans la catégorie senior

sur le 100 kilomètres du championnat de France. Il a également participé à plusieurs épreuves d’endurance de 200 kilomètres, se classant

notamment 6e en 2008 à Château-Thierry.

En tant que président des Amis de la Marche Athlétique de Château-Thierry, il a marqué les esprits en organisant des événements sportifs

majeurs tels que les 8 heures d’Étampes-sur-Marne et les 24 heures de Château-Thierry. Son engagement dépasse le cadre local puisqu’il est

également membre organisateur du prestigieux Paris-Alsace, où il contribue à la sécurité des participants.

Sportif polyvalent, Jérémy pratique également le VTT sous les couleurs de l’Étoile Cycliste de Château-Thierry. En parallèle, il joue un rôle clé

dans l’organisation de nombreuses compétitions locales, comme l'Ekiden des Fables, et intervient en tant que juge régional de marche pour veiller au respect des règles.

 

. Cécile Lambert pour toutes ses qualités qu’elle transmet avec passion depuis plusieurs décennies.

Sourire, dynamisme, entrain et bienveillance, tels sont les précieux ingrédients que cette professeur d’EPS et coach sportive partage

généreusement avec ses élèves et son entourage ! Véritable rayon de soleil, Cécile est un concentré de bonne humeur.

Très investie au sein du Handball Club de Château-Thierry, elle a encadré et formé de nombreux joueurs qui brillent aujourd’hui dans

toutes les catégories. Son implication exemplaire, son énergie communicative et son dévouement sans faille font d’elle une figure

incontournable de la vie sportive locale.

 

. Isabelle Ribeiro en reconnaissance de ses valeurs humaines, de son implication pour le développement du handisport et de l’impact positif qu’elle génère.

Isabelle possède cette rare capacité d’écoute, d’empathie et de compréhension qui inspire et motive chacun à se surpasser. Grâce à son

enthousiasme contagieux, elle encourage les personnes en situation de handicap à s’engager et à s’épanouir dans la pratique sportive.

Investie et dévouée, Isabelle a notamment accompagné une équipe de jeunes lors des Jeux Olympiques Européens de la Jeunesse en tennis

de table, contribuant à leur succès et à leur accomplissement lors de cette compétition.

 

. Jocelyne Plateaux pour son engagement et son amour pour la cité poétique.

Au village Saint Martin, elle est une figure incontournable ! De la rue Jules Maciet à la rue de Vincelles, en passant par la cascade du Ru

Fondu, aucun coin ne lui échappe. Grâce à son œil de photographe averti, elle a su capturer la beauté de chaque recoin, immortalisantdes instants précieux.

Pour elle, les rencontres se font autant avec les passionnés de photographie qu’avec les amis du Village Saint-Martin, association

de quartier qu’elle préside. Son engagement envers son quartier est aussi profond que son dévouement pour la Ville de Château-Thierry.

 

. Marguette Ledeuil (absente de la cérémonie).

Membre fondatrice et présidente de l’association « Chats sans toit », engagée dans la protection des animaux, notamment par la stérilisation

et la vaccination des chats errants.

 

. Jean Yves Tassan pour son dévouement et son engagement auprès des plus vulnérables.

Ce dernier a reçu la médaille de Ville qui lui a été attribué en 2022. Jean-Yves Tassan est profondément impliqué dans la vie locale. Ancien président de l’association « Les Petits boulots de l’Omois », son engagement a permis à de nombreuses personnes éloignées de l’emploi

de se réinsérer professionnellement, grâce à une gestion exemplaire d’un chantier d’insertion.

Son action a été déterminante pour le développement des compétences des bénéficiaires, leur redonner confiance, faciliter leur retour

à l’emploi et favoriser leur insertion sociale. Par son investissement constant et sa bienveillance, Jean-Yves Tassan a contribué à créer

des opportunités concrètes pour celles et ceux qui en avaient le plus besoin. 

 

Sébastien Eugène, maire de Château-Thierry et conseiller départemental, indique : « La municipalité tient à remercier ces citoyens pour leur dévouement et leur engagement. Ces médailles leur sont remises en reconnaissance de leur action. Chacun d’eux, à sa manière, contribue à la vitalité de notre Cité poétique. »

DB/Ville de Château-Thierry

Crédits photos : Axomois Production/Ville de Château-Thierry


[Exposition] Coincy. Que d’eau, que d’eau !

13 janvier 2025

La photographe Christine Pérardel Guichard transporte les visiteurs au bord du littoral Atlantique.
La photographe Christine Pérardel Guichard transporte les visiteurs au bord du littoral Atlantique.

 

L’exposition Photographes en liberté… au bord de l’eau organisée par l’association Expressions 02

a rassemblé, samedi 11 et dimanche 12 janvier, une trentaine de photographes présentant près

de quatre cents œuvres aussi diverses que variées.

 

Dormante ou agitée, verte, grise ou bleue, l’eau était la thématique de ce troisième rendez-vous photos qui a connu un vif succès populaire.

 

Les visiteurs devaient tout de même crapahuter pour aller d’une part, découvrir des œuvres exposées dans trois sites - la mairie, la salle Gautier et l’église- et d’autre part, papoter avec des artistes venus de toute la Picardie.

 

Ils n’étaient pas prêts pour cette troisième expo, mais l’an prochain, le public pourrait bien échanger avec des photographes Belges, Hollandais, voire Allemands. Petit à petit, l’évènement fait son nid.

 

 

 

 

 

 

« En 2026, la 4e exposition se tiendra dans la salle polyvalente, précise Paul Picquet, le président de l’association Expressions 02. Je vais faire

en sorte de réserver dans les temps. À cette époque de l’année, il fait trop froid dans l’église et l’éclairage est mauvais. Par ailleurs, la salle Gautier

est trop petite. » Sans parler des soucis d’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.

 

L’année prochaine, Coincy accueillera des photographes qui présenteront une nouvelle fois en toute liberté… leur petit quartier favori, leur petit coin de vie favori.

 

« Nous n’avons pas encore arrêté le terme exact, poursuit le président Picquet. En parallèle, nous ouvrirons une petite exposition sur le portrait.

Il n’y aura pas trente photographes sur le portrait, mais je pense que nous en aurons au moins une dizaine. »

 

Faire d'une pierre deux coups

Après avoir fait le tour de l'exposition photos dimanche 12 janvier, des visiteurs venus d'ailleurs retrouvent leurs commerçants ambulants favoris, Place Gautier de Coincy, sur le premier marché campagnard de l'année 2025.

DB

Crédit photos : Axomois Production


Connigis. Un nouveau bureau pour l’association Connig’Anime

12 janvier 2024

 

 

 

 

L'assemblée générale annuelle de l'association Connig'Anime s'est déroulée, samedi 11 janvier,

en mairie de Connigis. La démission du vice-président de l'association, Patrick Rossignol , ainsi que celle de la trésorière, Danielle Rossignol, n’ayant perturbé en rien le fonctionnement de la structure,

un nouveau Conseil d’administration comprenant cinq membres fût réélu pour  trois ans :

  • Yves Gachein (Président),
  • David Vinet (Vice-président),
  • Marie-Thé Rosand (Secrétaire),
  • Marie-Josée Picot (Secrétaire-adjointe),
  • Christine Vinet (Trésorière).

 

 

 

Il y avait du beau monde à cette assemblée générale sous l'égide du dynamique président Yves Gachein.

 

À la suite des commentaires et des résultats favorables concernant les actions menées en 2024, l’ensemble des personnes présentes,

y compris les présidents de deux associations locales et des nouveaux adhérents, a adhéré aux projets d’activités pour l’année 2025 :

  • Randonnées pédestres : dimanche 30 mars et dimanche 21 septembre,
  • Soirée Disco Années 80’ : samedi 26 avril,
  • Marchés campagnards nocturnes : samedi 24 mai et samedi 30 août,
  • Vide greniers : dimanche 26 octobre,
  • Soirée Beaujolais Nouveau : samedi 22 novembre,
  • Sortie annuelle en extérieur : la date et le lieu seront proposés prochainement. Les études étant en cours.

Présent en cours d’assemblée, le maire de la commune, Didier Salot, intervint lors d’un long discours et remercia vivement l’association,

ses membres actifs et ses adhérents, pour les actions menées, malgré le peu de participation, de solidarité et de compréhension des habitants.

Didier Salot encouragea Connig’Anime à poursuivre ses activités d’animation et de développement de la vie en société.

 

L’assemblée générale se termina avec le pot de l’amitié et la dégustation de galettes des rois, crêpes et friandises, offertes par les membres

de l’association.

 

Savoir +

 

Association Connig’Anime. 7 Rue de Monthurel. 02 330 Connigis

Tél : 03 23 71 88 00

Courriel : yves.gachein@sfr.fr

DB/YG

Crédit photos : Connig'Anime


Saint-Eugène. Les sapeurs-pompiers ont célébré la Sainte-Barbe          dans leur toute nouvelle caserne

12 janvier 2025

La cérémonie de la Sainte-Barbe s’est déroulée, samedi soir 11 janvier, dans la caserne flambant neuve du bourg Sud Axonais de Saint-Eugène. Élus, autorités et familles des soldats du feu n’ont pas manqué de remarquer la fonctionnalité des locaux. Rien à voir avec l’ancienne caserne exiguë, où à l’intérieur, un étai de maçonnerie maintenait la charpente du bâtiment alourdie par le poids de l’antenne.

 

Les nouveaux locaux apportent d’une part, un plus grand confort de travail et de vie et d’autre part, une meilleure efficacité pour les inter-ventions sur le territoire. La caserne de Saint-Eugène protège treize communes en première intervention et intervient sur tout le secteur

de Château-Thierry.

 

Une minute de silence en hommage aux sapeurs-pompiers décédés en intervention au cours de l’année 2024 a été observée au début

de la cérémonie. Les participants ont eu une pensée particulière pour l’Adjudant Jérémy Fontaine du Centre d’Incendie et de Secours

de Trélou-sur-Marne disparu le 10 février 2024.

 

Baisse des sorties sur les feux

 

Le Lieutenant Pascal Le Cornec, patron de la caserne, a détaillé les 247 interventions du centre au cours de l’année 2024 :

  • 192 sorties sur des secours à personne,
  • 8 sorties sur des feux. « Ça baisse. »,
  • 47 sorties sur des interventions diverses (inondations…).

Un effectif de 35 personnes

 

La caserne de Saint-Eugène comprend seize sapeurs-pompiers bénévoles, dont trois femmes, et un réserviste. L’année 2025 verra l’arrivée

de deux nouvelles recrues et de trois nouveaux réservistes.

 

Treize jeunes sapeurs-pompiers (JSP) ont intégré l’école de jeunes sapeurs-pompiers de Saint-Eugène créée dans le cadre de la construction de la nouvelle caserne. C’était le deal : Qui dit nouvelle caserne, dit ouverture d’une école de JSP. Une école pilotée par trois animateurs et

cinq aide-animateurs. Cette année, le Lieutenant Le Cornec souhaite porter le nombre d’animateurs à huit.

 

Recrutement d’un médecin capitaine

 

Fin 2025, le docteur Laura Cecchini du Pôle de Santé du centre bourg de Condé-en-Brie officiera en tant que médecin capitaine au sein

de la caserne.

 

De la promo !

 

Il y a rarement, voire pour ainsi dire jamais, de cérémonie de Sainte-Barbe sans une remise de grades : Les Sapeurs 1ere classe Christelle Minoli et Damien Bozoir sont promus au grade de Caporal, le Caporal Jessy Bourgeois est promu au grade de Sergent, et le Sergent-Chef Alexandre Houdot est promu au grade d'Adjudant.

 

Des diplômes et des formations

 

Le Lieutenant Pascal Le Cornec et l’Adjudant-Chef Bruno Trimaille (diplôme Conducteur d’engin-pompe), l’Adjudant Nicolas Pipeau (diplômes Accompagnateur de proximité, Permis Poids-lourd et Conducteur d’engin-pompe), le Sapeur Aldrick Goupil (diplômes Équipier Prompt Secours et Secours d’Urgence Aux Personnes), le Sapeur Alexandre Laly (diplôme Équipier Prompt Secours), et le Caporal Christelle Minoli (formations Maître-chien de sauvetage et de recherche de personne et Animatrice Jeunes Sapeurs-Pompiers en cours) ont été mis en lumière au cours

de la cérémonie.

 

Du changement dans la continuité

 

La caserne poursuivra l’organisation de journées Portes Ouvertes au cours desquelles les JSP seront mis à contribution lors de manœuvres. Des formations aux Premiers Secours seront ouvertes au public. L’objectif est de former la population et par là même de recruter de nouveaux sapeurs-pompiers.

 

Un aménagement des abords de la caserne est dans les cartons : Une stèle en souvenir des anciens sapeurs-pompiers de Saint-Eugène

sera ainsi érigée.

À l’intérieur de la caserne, la salle de repos et de formation portera le nom de l’ancien chef de centre, l’Adjudant-Chef Jean-Marie Danau.

 

Les discours du maire de Saint-Eugène, Michaël Peugniez, et de la conseillère départementale, Anne Maricot, ont ensuite précédé le partage

du verre de la fraternité en l'honneur de Sainte-Barbe.

 

Cette belle cérémonie de la Sainte-Barbe a été rehaussée par la présence du Lieutenant Laurent Gape, président de l’Union Départementale

des Sapeurs-Pompiers de l’Aisne et du Lieutenant Pierre Desmettre, chef du Centre d’Incendie et de Secours Principal de Château-Thierry.

DB

Crédit photos : Axomois Production

 


[Vœux] Château-Thierry. Sébastien Eugène : « 2025 sera un grand cru    en matière de concrétisation »

10 janvier 2025

La cérémonie des vœux à la population du maire et de l'équipe municipale de Château-Thierry s'est déroulée, jeudi 9 janvier, dans un Palais des Rencontres copieusement garni.

 

Retrouvez ci-dessous l'intégralité du discours de Sébastien Eugène.

 

« L’année 2025 a débuté il y a quelques jours et je tiens, avec l’équipe municipale et les agents, à vous adresser nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Des vœux de bonheur dans vos vies personnelles, professionnelles, associatives. Des vœux de réussite. Des vœux de bonne santé. Et plus les années passent, plus on se rend compte à quel point être en bonne santé demeure essentiel pour accéder au bonheur et

à la réussite…

 

Évidemment, les défis fin 2024 n’ont pas disparu quelques jours plus tard, début 2025.

 

Au niveau international, tous les éléments de stabilité volent en éclat, que ce soit à travers la guerre en Ukraine, le génocide à Gaza ou le futur président des États Unis qui souhaite annexer le canal de Panama, le Canada et le Groenland… rien que ça !

 

Au niveau national, ce n’est pas vraiment mieux. La France n’a pas de budget, pas de projet. Le seul aspect qui peut être positif, c’est de re-découvrir qu’en démocratie, ce qui compte ce n’est pas tant la personnalité du Premier ministre que la composition du Parlement.

 

Le pire dans tout cela, c’est que l’on ne voit pas vraiment le bout du tunnel et que l’on se sent impuissants.

 

Certes, les petits calculs, personnels et partisans, ont toujours existé mais la situation devrait amener à une plus grande prise de hauteur

et à la recherche de consensus. Je crois que les rassemblements transpartisans sont possibles comme nous le faisons à la Ville, à l'Agglo-mération, au Département, avec une représentation des sensibilités politiques très large dans les exécutifs.

 

Je pense d’ailleurs que celles et ceux qui seraient tentés de transposer les clivages nationaux à la politique locale se trompent profondément.

 

Personnellement, après avoir adhéré au même parti depuis 15 ans, j’ai décidé de ne pas renouveler mon adhésion. C’était mon premier

et mon seul parti. Je serai désormais « sans étiquette ».

 

Face aux troubles nationaux et internationaux, j’ai la conviction que le niveau local doit être une bulle de protection, où l’on se sent mieux.

 

Ainsi, en 2025, aux instabilités internationales et nationales, je souhaite que nous répondions localement par de la stabilité. Pour la Ville,

cette stabilité sera incarnée par la concrétisation de nombreux projets et pour notre Agglomération – j’y reviendrai lors des vœux de l'Agglo-mération le 27 janvier – par un indispensable redressement.

 

« Concrétisation » sera, pour la Ville, le maitre mot de 2025. Nombre de projets sur lesquels nous travaillons depuis le début de mandat,

parfois même depuis 2017, se concrétiseront.

 

Jean Marc Pourcine en a évoqué plusieurs en matière patrimoniale, notamment la rénovation de l’église Saint Crépin, la réouverture du musée Jean de La Fontaine ou encore la valorisation du château médiéval. Les évènements culturels seront, cette année encore, très nombreux

avec un focus sur les 500 ans de la reconstruction de l’église Saint Crépin que prépare aussi Frédéric Jacquesson.

 

Il y en a bien d’autres…

  •          La place de l’hôtel de ville  est en plein chantier, après des années de préparation liées aux diagnostics et fouilles archéologiques,              et aux réseaux enterrés.
  •           Le réaménagement des Vaucrises  bat son plein avec une reconfiguration majeure des espaces publics par la Ville et des logements     par Clésence. Ces efforts seront complétés par la construction d’une crèche par l’Agglomération, sur un terrain que la Ville cèdera,        une fois le permis de construire obtenu, à l’euro symbolique.
  •           De même, à Blanchard, la rénovation urbaine se poursuivra par le bailleur social Clésence, pour la rénovation des logements suivie         par Cathy Coutant, et de la place de l’horloge, qui est entrée dans sa dernière phase de reconfiguration avec la déconstruction du dernier bâtiment.
  •           La Ville continuera l’aménagement des abords du Palais des Rencontres. Après l’aménagement d’un espace réversible en parking et       en terrain sportif l’an passé, nous entamerons d’ici quelques mois la construction d’un lieu de rencontre, un jardin d’agrément poétique.
  •           La création d’un crématorium à côté du cimetière de la Moiserie est toujours prévue. Si sa construction n’a pas débuté, c’est tout simplement parce que les coûts de construction ont fortement augmenté et que nous devons, avec l’entreprise qui gèrera l’équipement, trouver le bon moyen pour équilibrer l’opération.

Nous avions le choix, soit de débuter tout de suite l’opération en augmentant considérablement les tarifs de crémation, soit de prendre un peu plus de temps pour négocier avec le prestataire… Nous avons privilégié la seconde option et j’ai bon espoir qu’un accord puisse être trouvé prochainement.

  •           Des travaux de voirie seront également menés [Plan avenue de Montmirail]. D’abord, rue de Gerbrois où le chantier de la 1ère phase est sur le point de débuter. Nous poursuivrons la rénovation d’une partie de l’avenue de Soissons, dans la continuité des travaux réalisés     l’an passé. Et nous entamerons le réaménagement de l’avenue de Montmirail dans le cadre du programme d’amélioration de nos entrées  de ville.

Nous commencerons en 2025 sur la partie Est, là où l’enfouissement des réseaux a été réalisé l’an passé. Puis nous attaquerons la partie Ouest, avec le réaménagement de l’espace dédié aux monuments mémoriels, place Paul Doumer. L’objectif est de mieux les valoriser et           de permettre la tenue d’un certain nombre de cérémonies sans avoir à couper la circulation dans ce secteur routier stratégique.

  •           Le changement des têtes de candélabres par de la Led se poursuit et, d’ici le 1er février, nous devrions être en mesure de doubler               le nombre de rues qui resteront allumées la nuit.

Les projets d’investissements portés par Mohamed Rezzouki sont très nombreux. 10 millions d’euros réalisés en 2024 ; 9 millions d’euros prévus en 2025 : notre niveau d’investissement est bien au-dessus des villes de taille analogue et constitue un record pour notre ville, devant     le record précédent de 2018.

 

Les budgets intéressent peu de monde, sauf le jour où ils sont déficitaires et qu’il faut les combler. Pourtant, le pilotage ces dernières années, par Jérôme Haquet, a été très fin et nous a valu quelques insomnies – littéralement – à la suite du covid et de la période de forte inflation.

 

Ne pas augmenter les taux de fiscalité pour la 18e année consécutive ; avoir des tarifs municipaux qui, depuis 2017, ont augmenté moins vite que l’inflation ; sauvegarder les subventions aux associations suivies par Nathalie Redouté ; tout cela relève d’un petit miracle…

 

Ou plutôt, cela relève d’une très grande maturité de notre administration en matière financière. Maturité également démontrée en 2024 par       la mise en place d’un contrôle allégé de certaines dépenses par le Trésor Public. Sur les 800 communes que compte l’Aisne, nous sommes      la première à avoir instauré ce contrôle allégé.

 

Mais je tiens aussi à le dire : l’équilibre est très fragile. Notre ville demeure l’une des 250 villes les plus pauvres de France et les marges             en fonctionnement sont de plus en plus restreintes. Je mets donc en garde les apprentis sorciers en matière budgétaire ; on a vu ce que

cela a donné à l’Agglo…

 

Côté investissements, on est aussi au maximum. Et pourtant, les demandes supplémentaires ne cessent d’affluer. Paradoxalement, plus des investissements sont réalisés, plus les demandes augmentent. J’avoue que c’est quelque chose que je n’avais pas mesuré quand j’avais pris ces fonctions. Mon postulat de départ, c’était qu’en répondant aux demandes, à terme il y en aurait moins.

 

J’étais un peu naïf… Dans les faits, c’est exactement le contraire qui se produit : plus vous améliorez de choses et plus vous créez de nouvelles attentes. Par exemple, quand vous rénovez un équipement sportif, tel usager d’un autre gymnase se demande pourquoi celui qu’il utilise          n’a pas été rénové ? Pourquoi son local associatif n’a pas été agrandi ? Pourquoi son école n’a pas été améliorée ? Pourquoi la rue devant     chez soi n’a pas été refaite ? Au final, malgré tous les efforts et justement parce que de gros efforts sont faits, les demandes augmentent.

 

En 2025, et ça va être dur de s’y tenir, nous allons donc privilégier les finitions. En d’autres termes, nous allons veiller à bien terminer ce qui a été commencé – que ce soit des chantiers de travaux ou des études préalables.

 

Je tiens à rassurer celles et ceux qui sont en attente : ce n’est pas parce que des travaux ne seront pas réalisés en 2025 que nous ne pourrons pas préparer ces investissements pour les années futures. Je pense évidemment à U1. Mais aussi au club house du tennis rue de Mosbach    ou encore au café associatif que nous aimerions installer au rez-de-chaussée des ateliers d’art, à côté de la médiathèque.

 

On comprend tous que l’on ne peut pas tout réaliser au même moment. Ce qui compte, c’est la dynamique générale, et 2025 sera un grand cru en matière de concrétisation.

 

Ce qui compte aussi, c’est d’avoir de la lisibilité sur le futur de notre ville.

 

L’an passé, nous avons lancé l’initiative participative « Château-Thierry 2040 », dont le but est de penser collectivement notre ville sur le temps long.

 

La démarche, coordonnée par Francis Rimlinger et le directeur général des services, s’est notamment traduite par deux réunions publiques et un questionnaire, et nous venons tout juste de diffuser le compte-rendu avec le magazine municipal distribué dans toutes les boites aux lettres.

 

Je ne vais pas énumérer tous les projets mais je vous propose d’en passer certains en revue.

 

D’abord, le stade municipal, qui s’est développé pendant près d’un siècle sans aucune réelle harmonisation. La rénovation de la piste d’athlétisme en 2024, portée par Eric Bozzani, a constitué la première étape d’une large restructuration cohérente du stade.

 

La deuxième étape, ce sera d’agrandir le parking sur une partie de l’espace sportif à proximité, et de mieux aménager la partie restante, notamment avec un espace couvert fortement demandé par les scolaires et les joueurs de pétanque.

 

La troisième étape, ce sera la rénovation des bâtiments et leur réorganisation avec idéalement la construction de vestiaires-gradins donnant sur le terrain synthétique. La fusion des deux clubs de foot demeure une condition préalable à la rénovation des vestiaires.

 

Si on remonte un peu plus au nord, on a le quartier de gare [photo de la gare]. L’incapacité ces dernières années de notre territoire à bâtir          un projet ambitieux pour l’ensemble du quartier de gare, au potentiel immense, pas tant sur Château-Thierry, que de l’autre côté des voies ferrées, est problématique.

 

Face aux blocages, la Ville avait décidé il y a 2 ans de se lancer seule et d’aménager unilatéralement son parvis de gare. Au vu des change-ments à l’Agglomération il y a 8 mois, Château-Thierry n’a pas lancé d’études d’aménagement et espère toujours qu’un projet global concerté pourra voir le jour.

 

Mais si l’aménagement du parvis est en pause, plusieurs projets vont voir le jour :

  • Tout d’abord, la passerelle de la gare sera rendue accessible et les travaux commenceront, comme cela est prévu depuis 3 ans, dès cette fin d’année. Quand nous l’avions annoncé avec la SNCF et la Région il y a trois ans, peu de monde nous croyait au vu des nombreuses promesses qui faisaient surface depuis 20 ans avant chaque échéance électorale. Mais les sillons ont bien été réservés pour des travaux en 2025 et en 2026, et de premières interruptions de trafic à cette fin sont déjà prévues sur la fin d’année 2025. Je remercie monsieur      le sous-préfet pour le compte de l’État, Dominique Moyse et Élisabeth Clobourse pour la Région qui cofinance ces travaux.
  •            L’autre projet qui se concrétisera, c’est la construction de la résidence jeunes actifs. Face aux lenteurs de l’Agglomération, la Ville avait repris le dossier qui est désormais finalisé. Il sera présenté au 1er semestre 2025 en collaboration avec Clésence et en lien avec            une pension de famille porté par Espoir 02.
  •            La construction d’une résidence séniors sociale pourrait également voir le jour dans le quartier de gare. Alors que les travaux de la rési-dence séniors privées DOMITYS au jardin des petits prés se poursuit, nous savons qu’elle ne sera pas accessible à toutes les bourses.

Vu le vieillissement de la population, nous préférons anticiper et nous travaillons avec l’OPAL sur un projet de résidence séniors avec des loyers plus abordables. Ce projet sera travaillé en 2025 et nous devrions avoir un projet abouti d’ici peu.

 

En remontant légèrement au nord, le souhait à horizon 2040 est de bien mieux valoriser la fausse Marne, par exemple pour des projets touristiques ou l’hivernage de bateaux, notamment sur la pointe Est de l’ile. Dès 2025, nous améliorerons l’accessibilité au square Pierre Sémard, notamment par l’abaissement d’un muret sur le quai Dupuis Delisy. Et nous engagerons de premières études pour une remise en état de la fausse Marne.

 

De l’autre côté, l’école des Filoirs est amenée à évoluer. Avec Natacha Tholon, nous réaliserons en 2025 une étude d’agrandissement. Celle-ci    a été retardée pour une raison très simple : la natalité a fortement baissé dans notre pays et le nombre d’habitants dans notre ville stagne voire baisse légèrement. Il conviendra donc de bien dimensionner cette possible extension.

 

Après la rénovation urbaine de Blanchard et des Vaucrises, l’autre grand projet de rénovation urbaine se concentrera sur le quartier de la Vignotte. J’entends aujourd’hui les mêmes doutes que l’on avait entendu à l’époque sur Blanchard et Vaucrises : votre projet est trop ambitieux, ça prend trop de temps, vous n’y arriverez pas…

 

Non seulement la rénovation à Blanchard et Vaucrises devient une réalité mais on anticipe déjà ce prochain grand chantier de la Vignotte         en lien avec l’OPAL.

 

Pour résumer, l’enjeu est de rénover deux barres d’immeuble, d’en déconstruire une - celle du milieu, pour ouvrir sur le parc Saint-Joseph.           Si le lycée Saint-Joseph accepte une cession à la Ville, nous pourrons mieux aménager ce parc, notamment en aire de jeux et en espace sportif.

 

Cela permettra de déplacer les espaces sportifs qui sont aujourd’hui devant le gymnase Brossolette. En agrandissant le gymnase on pourra dès lors déménager les activités d’escrime, de gymnastique, de boxe qui sont aujourd’hui dans l’espace U1.

 

Les études d’agrandissement du gymnase seront réalisées cette année et marqueront le début de la rénovation de U1. Je sais que cela est contre intuitif : la 1ère étape de rénovation de l’espace culturel et associatif de U1 passe par l’agrandissement d’un équipement sportif...

 

Parallèlement, nous poursuivrons le projet architectural sur U1 avec la réorganisation des espaces qui sera facilitée par le déménagement       de l’entreprise industriel API qui a toujours refusé de partir. Nous étions en procès depuis plusieurs années ; nous avons gagné fin 2024 et        la décision du tribunal devrait être effective en 2025. La rénovation du lieu n’est donc pas une arlésienne, c’est simplement un projet très long, très ambitieux qui nécessite un grand nombre de démarches préalables.

 

Imaginer notre ville dans 15 ans, c’est évidemment imaginer le futur des places Victor Hugo et de la place des États-Unis. Ces deux places ont un énorme potentiel mais elles sont vieillissantes et il nous faudra, d’ici 2040, imaginer leur rénovation. Pour la place Victor Hugo, il ne devrait pas y avoir de changement majeur dans la configuration actuelle ; ce sont surtout les abords qui pourraient être changés.

 

D’abord avec la construction de l’immeuble dans la future rue Yolande Dubois. Celle-ci tarde à se concrétiser en raison de la crise de l'immo-bilier ces deux dernières années qui retarde la commercialisation des futurs appartements. Nous travaillons aussi sur les anciens garages Desson, qui dégradent fortement l’image de notre ville et pour lesquels la Ville a entrepris depuis plusieurs années un grand nombre                  de démarches pour forcer la réalisation de travaux. Il est encore trop tôt pour crier victoire mais nous espérons avoir de bonnes nouvelles    pour 2025.

 

Pour la place des États-Unis, les choses pourraient être différentes. Elle est aujourd’hui la principale poche de stationnement sur la rive droite   et sans solution alternative de stationnement, elle est vouée à le rester. C’est pourquoi, dans le cadre de « Château-Thierry 2040 », l’hypothèse  – et j’insiste bien sur le mot hypothèse car rien n’est décidé – ce serait de créer un parking sur plusieurs étages place Jean Moulin, derrière      La Poste. Ce parking permettrait de libérer une partie de la place des États-Unis et d’augmenter la capacité de stationnement dans le cœur      de ville.

 

Et puisque nous en sommes à l’étape de l’imagination, ce parking silo pourrait être construit en lien avec un Palais des Sports rénové ou reconstruit, créant un ensemble harmonieux sur la place Jean Moulin.

 

Et pourquoi pas imaginer la création d’une passerelle entre cet espace et le parc Saint-Joseph, permettant la desserte des établissements scolaires de l’île, depuis des arrêts de bus situés sur la rive droite de la Marne.

 

Cela peut apparaître comme de la science-fiction, mais afin de tester cette hypothèse, nous prévoyons d’engager en 2025 une étude             nous permettant d’avoir une idée approximative du coût d’une telle passerelle.

 

On en parle depuis des années ; le temps est venu de savoir si la création de cette passerelle est faisable financièrement ou pas. Car si ce n’est pas faisable cela ne sert à rien de continuer à l’imaginer. Et si c’est faisable ce serait bien que l’on puisse la concrétiser.

 

Parallèlement, il y a la volonté de poursuivre la valorisation de la Marne, notamment à travers les terrains situés à proximité du gymnase nautique et de l’ancien camping. Ce dernier a été mis en vente en 2024 ; peut-être aurons-nous des projets à présenter en 2025.

 

Évidemment, en 2040, notre cœur de ville sera bien plus rénové, avec une rue piétonne réaménagée, et des immeubles rénovés ou reconstruits. Dans cette opération de revitalisation, nous sommes à une étape charnière qui est la plus désagréable. Pour faire bref, notre partenaire Seda    a lancé beaucoup d’études pour rénover des îlots stratégiques, a engagé beaucoup d’acquisition foncières et pour l’instant, les réalisations sont peu visibles 

  •           D’abord, en raison de nombreux recours sur les acquisitions : il suffit qu’un seul appartement ne soit pas cédé pour retarder toute          une opération.
  •           Ensuite, parce que lorsqu’un immeuble est réhabilité, on ne voit finalement que la façade sans se rendre compte de tout l’aménagement intérieur ni la création de jardin en arrière-cour.
  • Enfin, parce que les bâtiments sont encore plus dégradés qu’on ne le pensait. Par exemple, le chantier du 58 Grande Rue a dû être arrêté  à deux reprises parce que le bâtiment menaçait de s’effondrer pendant les travaux. Certains bâtiments que l’on pensait pouvoir réhabiliter, devront finalement être déconstruits et, pour préserver les aspects patrimoniaux, les façades seront reconstruites à l’identique.

On est aujourd’hui au milieu du gué. L’enjeu pour 2025, c’est de sortir de cet entre-deux et de voir se concrétiser la rénovation d’un certain nombre d’îlots stratégiques. Ces immeubles comporteront des cellules commerciales fusionnées, seul moyen de maintenir et de développer notre commerce de proximité suivi par Emmanuelle Leriche-Charpentier. Ce sera toutefois difficile, le contexte économique nationale étant peu favorable au commerce.

 

Nos zones d’activité économiques, gérées par l’Agglomération, sont également amenées à évoluer que ce soit la zone de la Moiserie ou la zone de l’Europe. Cette dernière a été retenue dans le cadre d’un appel à projet national pour anticiper sa transformation. Car ne nous y trompons pas : les phénomènes que nous connaissons en cœur de ville – la vacance, les friches, les ilots dégradés – sont en train de se développer   dans les zones périphériques. Il y a donc lieu d’anticiper.

 

Avec Château-Thierry 2040 nous nous sommes aussi penchés sur les équipements publics. J’en ai évoqué un certain nombre ; je voudrais insister sur quelques autres.

 

D’abord, l’enjeu d’ici 2040 est d’entreprendre un grand programme de rénovation énergétique de nos 55 bâtiments publics. Un audit sur l'en-l’ensemble de ces bâtiments est en cours et un premier rendu existe déjà sur l’ensemble de nos écoles. Nous savons désormais très précisément quels travaux sont nécessaires, école par école, pour atteindre les objectifs en matière énergétique. Nous présenterons               ces résultats d’ici quelques semaines. D’ores et déjà, nous savons que nous investirons en 2025 dans les écoles de La Madeleine et de la Mare Aubry, en plus de la dernière phase de renouvellement de toiture à l’école Louise Michel.

 

La même démarche est réalisée sur l’ensemble de nos bâtiments ; je pense en particulier aux gymnases qui ont, pour la plupart, été construits dans les années 70 et sont à bout de leur premier cycle de vie.

 

Autre équipement amené à évoluer, c’est le local de police municipale. Chaque année la ville affecte, en moyenne, un agent de plus à sa police municipale supervisée par Chantal Bonneau – c’est le seul service qui a vu ses effectifs augmenter de la sorte. Dans un an, nous serons             à 10 agents affectés et forcément le local actuel devient trop petit.

 

Nous sommes donc à la recherche d’un nouveau local. Un local qui permettra de consolider aussi notre système de vidéoprotection. Car lui aussi a fortement grandi et on ne gère pas un système avec une vingtaine de caméras comme en début de mandat, avec un système de près de 60 caméras comme aujourd’hui. Quitte à passer des câbles, autant les passer vers un local pérenne.

 

J’en profite pour remercier le travail de la police nationale et du commandant Nuyttens. L’année n’a pas été simple, notamment avec                 les regroupements rue Carnot et rue des Granges. On pourra tourner le problème dans tous les sens, le premier défi sécuritaire vient du trafic  de stupéfiants. Et si ce trafic existe, c’est parce qu’il y a des consommateurs, de plus en plus nombreux, recoupant de plus en plus de géné-rations…

 

D’ici 2040, le centre communal d’action sociale porté par Alice Dupuis aura aussi besoin d’évoluer. Il est aujourd’hui situé dans un bâtiment vieillissant ; il faudra bien un jour ou l’autre concevoir sa rénovation ou sa relocalisation dans des locaux plus adaptés. Des améliorations ont déjà eu lieu, notamment l’installation et l’ouverture d’un point hygiène l’an passé.

 

En matière de santé, la modernisation de l’IFSI, le centre de formation en soins infirmiers situé dans un bâtiment communal rue Jules Maciet, est dans les tuyaux. Et nous réfléchissons, avec les médecins de la maison de santé à Blanchard, à un futur agrandissement.

 

Enfin, même s’il ne dépend pas de la mairie, l’hôpital de Château-Thierry joue un rôle clé. Les travaux de son extension commenceront               en 2025, après l’agrandissement du parking en début d’année. En parallèle, la direction par intérim prévoit le début des études sur la rénovation du bâtiment existant, qui fera l’objet préalablement de travaux de remise en sécurité incendie attendus depuis près de 20 ans.

 

Mais on le sait, les aspects bâtimentaires ne feront pas tout et la pénurie de médecin, qui affecte la médecine de ville, est tout aussi problématique pour la médecine hospitalière. L’activité des hôpitaux est donc très dépendante de l’arrivée ou du départ de tel ou tel médecin. L’enjeu pour notre hôpital est de maintenir un grand nombre de service avec, lorsque c’est possible, des spécialisations phare lui permettant d’être plus attractif.

 

Les discussions avec l’ARS – l’agence régionale de santé – se poursuivent donc, notamment sur les autorisations données à notre hôpital.    Ces discussions ont toujours eu lieu, ont toujours nécessité la vigilance des élus comme des patients.

 

Oui, l’hôpital public en France ne va pas bien. Oui, certaines activités de notre hôpital sont régulièrement menacées. Oui, il faut se mobiliser pour maintenir le plus grand nombre d’activités.

 

Mais faire croire que la direction par intérim serait responsable de refus d’autorisation ou de la pénurie de médecin est malhonnête. Faire croire qu’elle jouerait contre notre hôpital est insultant et diffamatoire.

 

Je rappelle que le mariage entre les hôpitaux de Soissons et Château-Thierry a été décidé en 2016, par ceux-là même qui aujourd’hui crient     au conflit d’intérêt. A l’époque je n’étais ni maire ni membre du conseil de surveillance, et le directeur actuel n’était même pas dans l’Aisne !

 

Je remercie la direction par intérim, représentée ce soir par M. Marais, de remettre progressivement de l’ordre dans notre hôpital et de rendre possible les projets immobiliers.

 

Je remercie aussi les membres du conseil de surveillance qui, le mois dernier, ont accepté que nous mettions de côté la question de la direc-tion de l’hôpital pendant un an, jusqu’au renouvellement des instances, pour nous consacrer sur les vrais enjeux, notamment l’activité médicale.

 

Je pourrais aujourd’hui évoquer pendant des heures les erreurs de gestion passée, l’association dite de défense de l’hôpital qui n’est qu’une association électorale en vue des municipales de 2026, sur ceux qui tirent les ficelles en coulisses, ceux qui ont pris l’habitude d’annoncer     que notre hôpital va fermer ou être démantelé avant chaque campagne électorale.

 

Leurs ficelles sont tellement grosses, tellement usitées, que je m’en remets à la sagesse de mes concitoyens.

 

Ils seront aidés d’ici quelques mois par le rapport de la chambre régionale des comptes que nous avions été nombreux à demander. Et je sais pouvoir compter sur mes collègues maires qui ont régulièrement assisté aux présentations du directeur au sein de l’Union des communautés de communes du Sud de l’Aisne, présidée par Olivier Devron.

 

L’an passé, lors des vœux, j’avais eu des propos très incisifs sur l’hôpital et l’Agglomération. Je sais que beaucoup d’entre vous avez pu trouver ces propos très durs, parfois disproportionnés.

 

Un an plus tard, les faits m’ont donné raison. Et pour être franc, si à l’époque j’avais su que l’Agglomération était en si mauvais état, notamment financièrement, j’aurais même été plus virulent.

 

Mais peu de personnes imaginent l’énergie que cela m’a pris et parfois les doutes qui ont pu m’étreindre.

 

Ces combats sont en train d’être gagnés parce qu’ils étaient justes. Alors que 2024 aura mis à découvert les errements de gestion passés       de l’Agglomération et de l’hôpital, 2025 doit nous permettre de passer à autre chose. Mais ce ne sera pas facile ; il n’aura échappé à personne qu’il s’agira de la dernière année avant le renouvellement des conseils municipaux.

 

Je sais déjà que certains vont tout faire pour bordéliser la situation. Cette stratégie est devenue l’instrument politique le plus utilisé en ce début de 21ème siècle. Dans son essai « Les ingénieurs du chaos », le politologue Giuliano da Empoli a montré comment les populistes d’Europe    ont généré un sentiment de chaos politique pour pouvoir accéder au pouvoir.

 

L’une des caractéristiques de notre temps, ce n’est plus de faire campagne, projet contre projet, sensibilité politique contre sensibilité politique, mais de créer le chaos. Cette stratégie est déjà éthiquement questionnable mais surtout, elle amène nos concitoyens à penser que plus rien   ne va. Je mets donc en garde celles et ceux qui seraient tentés par une telle stratégie.

 

Vous allez dire que je suis vieux jeu ou idéaliste, mais je crois encore au débat politique apaisé, qui se concentre sur les vrais enjeux,                  sur le débat d’idée, sur la confrontation des projets, plutôt que sur l’invective permanente ou sur la manipulation de nos concitoyens à travers les peurs, comme on l’a vu sur l’hôpital.

 

L’année 2024 aura été particulièrement difficile et exigeante pour les élus municipaux. Je tiens chaleureusement à les en remercier et à saluer tout le travail qu’ils ont réalisé. Vous pouvez en profiter car les 365 autres jours de l’année, vous m’entendez plutôt vous demander si vous avez rappelé tel président d’association, organisé telle réunion, assisté à telle assemblée générale.

 

Comme j’ai l’habitude de dire, je ne suis qu’un chef d’orchestre qui a la chance de mettre en mouvement de très bons musiciens. Merci donc     à chacun d’entre vous. A ceux que j’ai cités mais également à tous les conseillers municipaux de la majorité – Jean-François Bouteleux,      Fariel Simon, Christelle Pouillart, Jacqueline Boulonnois, Agnès Féry, Stéphane Pietkiewicz, Charles Dusek, Fabienne Coezzi, Thierry Samyn, Lolita Perrot, Christophe Zellek, Jacques Jaunet, Sarah Bouafia – et les conseillers de l’opposition – Christian Fauvet, Thierry Million,      Christine Perardel Guichard, Amine Abdelmadjid, Isabelle Lambert-Malaizé.

 

Comme j’adresse mes remerciements à l’ensemble des agents municipaux sous la direction de Daniel Flicourt, de Blandine Dudemaine,           de Thibaut Crépin et de Marie-Pauline Ferrier. Merci aussi aux équipes de mon cabinet, Gaelle Amelot et Sam Dehame ainsi qu’à Maxime Dolic, qui a réussi le concours d’avocat et qui nous quittera très prochainement.

 

Je remercie également mon époux, observateur malheureusement privilégié de la chronophagie et des soubresauts émotionnels qu’impliquent mes fonctions.

 

Merci à Michèle Fuselier, ma binôme exceptionnelle au conseil départemental, qui est de tous les combats justes que je mentionnais.

 

Merci à Anne Maricot et Dominique Duclos, qui ne sont pas officiellement mes binômes au conseil départemental mais avec qui nous formons un « quad » - j’ai appris ce mot récemment – un quad donc sud-axonais au Département.

 

Merci à tous nos partenaires : l’État, monsieur le sous-préfet, la Région, le Département, les élus de l’Agglo, les organismes publics, les entre-prises privées, les associations… Tous les projets cités seraient impossibles à réaliser sans votre implication à nos côtés.

 

Merci donc à vous toutes et tous qui, à un moment ou un autre, apportez votre pierre à l’édification de Château-Thierry. Une Ville que nous souhaitons plus agréable à vivre, plus poétique, plus émancipatrice pour les jeunes.

 

Je le disais au début de mon intervention : les temps actuels troublent nos repères. S’il y en a bien un que nous ne devons pas perdre de vue, c’est le soin apporté aux plus jeunes. Ils incarnent l’espérance dans un monde qui en manque cruellement.

 

Quand je suis devenu maire à 31 ans, j’ai trouvé délicat de mettre la jeunesse en avant – je craignais que l’on pense que je parlais de moi…   Mais en 2025, je franchirai une nouvelle dizaine et deux générations me sépareront des nouveau-nés.

 

Je souhaite que l’année 2025 puisse être dédiée à l’enfance et à la jeunesse. Quand je vois l’état de doute dans lequel nous sommes tous plongés, je n’ose imaginer la difficulté pour les jeunes de se projeter, de se construire, notamment au vu du défi écologique dont nous observons régulièrement les conséquences – et je remercie chaleureusement les sapeurs-pompiers de leurs nombreuses interventions      dans cette année parsemée d’inondations.

 

Début décembre nous avons officiellement déposé, avec l’État, l’Éducation nationale et l’Agglo, notre candidature pour bénéficier du pro-gramme national de « Cités éducatives ».

 

Nous faisons déjà beaucoup pour la jeunesse – à travers l’appui aux projets pédagogiques, aux activités périscolaires, à une politique tarifaire très sociale, aux améliorations dans les écoles, au soutien scolaire, aux évènements culturels, via les associations, culturelles, mémorielles, sportives, au conseil municipal jeunes…

 

Le but est de mieux coordonner ces actions et d’en développer de nouvelles, notamment en matière de réussite éducative et de parentalité, pour accompagner tous les jeunes, de 0 à 25 ans.

 

Alors que devenir parent est certainement la chose la plus merveilleuse au monde, offrir à nos enfants, à nos futurs enfants, un avenir heureux est notre plus grand souhait.

 

Alors en 2025, quel que soit l’âpreté du moment, ne baissons pas les bras. Pour eux et pour nous.

 

À toute et à tous, très bonne année 2025, à Château-Thierry ! »

 

 

 

 

 

 

 

La soirée a débuté par l'intervention de Jean-Marc Pourcine, conseiller municipal, délégué au patrimoine, aux musées et à la coordination touristique.

 

Retrouvez ci-dessous l'intégralité du discours de l'élu castel.

 

 

 

 

 

 

 

« Merci, M. le maire, de me donner la parole sur ce sujet du patrimoine qui me permet de mettre en lumière le travail réalisé par la Direction

du Patrimoine et ses agents du service archéologique, du château médiéval, ainsi que la Direction du musée Jean de la Fontaine et son équipe.

 

Notre ville, cité du Patrimoine, est riche de son histoire et de ses traditions. Elle est un lieu de dynamisme et d’attractivité.

 

Patrimoine, économie et culture s’entremêlent pour offrir une image vibrante : des coteaux qui produisent des champagnes d’exception,

un tissu industriel résilient, et un patrimoine historique qui séduit de nombreux visiteurs. D’ailleurs, une nouvelle pétillante devrait bientôt

venir couronner nos efforts en matière de promotion viticole, puisque la Ville accompagne les Caves Pannier dans leur projet de demande

de protection au titre des Monuments Historiques.

 

Ces réussites ne sont