Autrice et conteuse depuis 2012, Kristel Le Chantoux vient de publier en auto-édition
Les potins du village ou Les ombres interdites.
« J’habite dans le Sud de l'Aisne depuis presque dix ans, maintenant, confie Kristel. J'ai écrit jusqu'ici de petits albums pour la jeunesse et un livre de contes et légendes sur le Morbihan. Mon premier thriller, Les ombres interdites, fait partie de la série Les potins du village.
C’est un thriller psychologique sur le thème principal du titre de la série, mais aussi sur le harcèlement et leurs conséquences. J'ai souhaité écrire sur le sujet, car il est très présent dans l'actualité que ce soit dans les écoles ou encore via internet avec les blogueurs et youtubeurs.
Il m'a fait me poser beaucoup d'interrogations. Tout d'abord par rapport au ressenti de la personne qui vit cette humiliation, puis comment elle pourrait se venger, en appliquant l'effet papillon. »
Cette année-là, Annie, 9 ans, pensait passer de formidables fins de grandes vacances chez
un couple d'amis à ses parents. Elle, qui ne connaissait que la ville, était heureuse de découvrir les habitudes de vie des habitants d'un petit village au fin fond de la France profonde ainsi que la campagne environnante.
Malheureusement pour elle, le sort en a décidé autrement. Dans un suspens insoutenable, Annie et ses proches pourront-ils oublier l'inconcevable ?
Les potins du village ou Les ombres interdites est disponible sur :
Et également dans les librairies indépendantes françaises et sur chapitre.com
DB
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"Il n’est pas d’œuvre, quelle qu’en soit la nature, qui ne parle au delà de sa prime expression.
Venue tardivement à l’art pictural, l’odonienne Yannick Méresse-Cernet n’échappe pas à ce postulat. Riche d’une vie professionnelle ouverte sur le monde, ce peintre a pour source d’inspiration l’univers agreste.
Sa technique : l’huile et l’acrylique, soutiennent sa muse ; plantes, animaux, paysages ou simples objets du quotidien bénéficient d’une palette essentiellement marquée par les couleurs chaudes. La touche est soutenue et précise mais donne au spectateur la vibration de l’inachevé. Cette vigueur incertaine révèle là, toute la sensibilité de l’auteur qui, sur chacune de ses toiles, refonde l’authentique.
Yannick Méresse-Cernet, nous entraîne avec sincérité sur les chemins du vrai."
Bernard Boller
Suivez le guide ! http://ymeresse.e-monsite.com
L'odonien Jacques Cernet a commencé à dessiner vers l’âge de 10 ans. Ce septuagénaire a toujours été fasciné par le matériel
des professionnels de peinture. Un jour, passant à Château-Thierry, il franchit le pas. Cela fait plus de 35 ans qu’il œuvre. Découvrez ces toiles ici.
Robert Doisneau lui a dit un jour : « Jean-Francis, tu as de l’or dans les mains ». Jean-Francis Fernandès vit à Paris où il est né en 1952. Dès l’âge de 14 ans, il se passionne pour le cinéma et la photographie puis fréquente l’Ecole Louis Lumière et l’Académie Charpentier. En 1969, il réalise en 16 mm Et Après, présenté en 1978 au Centre Pompidou aux journées de cinéma « La Ville et l’Enfant ». Suivront Monologue de Sourds, Un Français parle aux Français et Enquête Sociale qui sera présenté, en 1980, au Festival International Cinéma du Réel, au Centre Pompidou. Parallèlement, il est le photographe de la Mission Interministérielle de l’Aménagement de la Côte Aquitaine (1972-73), de l’un des services du Muséum National d’Histoire Naturelle (1976-77)...
Il effectue, en 1979, un reportage photographique sur les cinémas de la Capitale, commandé par Paris Audiovisuel pour la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris. A partir de 1980, il se consacre exclusivement à la photographie et travaille pour l’Agence Groupe 7. Se succéderont des commandes pour de grands groupes industriels et des organismes institutionnels tels que l’Etablissement Public du Grand Louvre (1984-1993). Prix Air France - Ville de Paris en 1984, il réalise un reportage aux Philippines dont les images seront exposées en 1985 au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Parmi ses séries photographiques, on compte : les Enfants Exceptionnels, les Ombres de la Ville Lumière, la Pauvreté ordinaire en France... Il est représenté dans les collections du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, de la Maison Européenne de la Photographie, du Festival de l’Image du Mans, de la BDIC - Musée d’Histoire Contemporaine et de la Maison de la Photographie Robert Doisneau. Il réalise lui-même ses tirages d’expositions et de collections.
Jean-Francis Fernandès photographie la solitude. Celle des gens et celle des lieux. Suivez-le sur : www.tk-21.com/Et-apres