[Culture] Mont-Saint-Père. Un bon millier de spectateurs au 1er concert du Festival Musique en Omois

À Mont-Saint-Père, le premier concert de l'édition 2022 du festival itinérant Musique en Omois a séduit, ce vendredi soir, un bon millier de spectateurs.

 

Dès 19 heures, un public comme à l'accoutumée bon enfant a envahi la pelouse de l'aire de jeux, pour voir et écouter des artistes

de talent, boire et manger de bons produits locaux et papoter avec des amis jusqu'aux environs de minuit, enfin pour les moins frileux.

 

Le Covid-19 ayant jeté son dévolu sur l’un des membres du groupe de hip hop jeune public Les Frères casquette, la soirée a du coup débuté avec la pêche aux histoires de la troupe théâtrale locale La Compa’ni oui ni non, puis s’est poursuivie avec Lucie Joy (nouvelle chanson française) et le groupe en tête d’affiche du concert Jim Murple Memorial (Rythm'n blues version jamaïcaine).

 

À « l’entracte », le maire de la commune Sud-Axonaise Gilles Cordival a accueilli le public : « Bienvenue à vous, venus aussi nombreux.

Un festival c’est aussi des musiciens que vous allez applaudir à la fin de chaque titre. C’est aussi des spectateurs. Je vais vous demander de

vous applaudir. Vous regardez chacun votre voisin et vous vous applaudissez. Et un festival c’est aussi des bénévoles. On les voit ici, on les voit là, on les voit là-bas. Il y en a d’autres plus loin sur les parkings. Sans bénévoles, il ne peut pas y avoir de festival. Je vais vous demander de faire beaucoup, beaucoup de bruit, pour qu’ils puissent vous entendre. »

 

Étienne Haÿ, président de la CARCT (Communauté d’Agglomération de la région de Château-Thierry), Olivier Devron, président du PETR-UCCSA (Pôle d'Équilibre Territorial et Rural - Union des Communautés de Communes du Sud de l'Aisne), Anne Maricot, conseillère départementale de l’Aisne et Élisabeth Clobourse, présidente de la C4 (Communauté de Communes du Canton de Charly-sur-Marne)

et conseillère régionale Hauts-de-France se sont ensuite succédés au micro. Les élus ont rappelé que leurs collectivités respectives finançaient ( « quoiqu’il en coûte » en ce qui concerne le PETR ) ce rendez-vous estival qui perdure depuis plus de 35 ans.

« Signe d'une ruralité vivante ».

DB

 

 

 

 

 

 

 

Il a dit !

 

« Nous finançons la Culture dans les territoires ruraux. Nous considérons que la Culture c’est l’émancipation, la Culture c’est l’ouverture d’esprit et par les temps qui courent,

nous en avons réellement besoin. » Étienne Haÿ, président de la CARCT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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